[ÂME SENSIBLE, S'ABSTENIR, SCENE CHOQUANTE 8D]Une rencontre entre deux étrangers. [suite. Camélia - Alexander.]

Lui aussi avait eu la même idée que toi pour ce qui était des archives secrètes de l'école d'Alféa. Bien sûr, il n'avait que ça en tête depuis son arrivée, là-bas, il pourrait trouver un livre sur les plus grands tueurs de l'univers magique, et ainsi trouver qui avait tué ses parents, du moins, c'est ce qu'il espérait réellement. Peut-être avaient-ils fait passer cela pour un accident ? Il n'essayait de ne pas penser à ça, car si cela était le cas, il aurait beaucoup plus de mal à découvrir qui avait tué ses parents. A tes dernières paroles, Alexander se mit à sourire en coin avant de venir prendre doucement ta main et commencer à marcher un peu plus rapidement que toi, te traînant presque à vrai dire, ce qui l'amusa davantage.

- Alors c'est partit mademoiselle, allons-y.

Ils marchèrent tout deux vers la bibliothèque avant d'enfin y entrer, bizarrement, il n'y avait strictement personne dans la pièce, elle était vide et n'y même la bibliothécaire n'était présente. « Étrange, mais parfait. » se mit à penser le brun qui lâcha ensuite ta main pour se diriger vers l'un des rayons qui l'avait interpellé : Les grandes planètes du vingtième siècles. Peut-être y trouverait-il des informations sur Cendros ? Après tout, c'était une planète incroyable connue dans le temps. Cependant, il ne pensait pas au fait que tu étais encore avec lui et regarder ce genre de livres était assez... Incompréhensible.

- Cendros... Cendros... Où es-tu ? s'interrogea Alexander dans un murmure.

Alexander continuait ses recherches de cette, ou plutôt sa, fameuse planète qu'était Cendros. Cette planète, qui oui, était obligée d'être étudiée en cours d'Histoire. Cendros était une très grande planète magnifique, aux couleurs sombres, certes, mais tout de même magnifique pour ses nombreux événements. Chaque années, on pouvait y trouver le jour des couleurs, ce jour qui avait été lui-même créé par sa mère, Anthéa. Ce jour consistait à s'habiller de façon à sortir du décor, il fallait que ça soit coloré. Un sortilège avait été réalisé spécialement pour cette journée, quand de la cendre tombait du ciel, celle-ci tombait de couleur orange, rose, jaune ou bien fushia. Tout le monde faisait en sorte que la planète soit plus accueillante et belle à regarder. Cependant, oui, l'hiver, de nombreuses pluies de cendre tombaient et faisaient de nombreux morts parmi les plus pauvres qui eux, mourrait de maladies ou d'étouffements. Depuis que la planète avait été détruite à cause d'une guerre qui avait éclaté peu après la mort de la famille Carrow, peu de personne avait survécu sur cette planète et donc peu d'histoire sur cette dernière avait pu en être tirée, malheureusement pour Alexander. Après tout, peut-être qu'aucun livre n'existait sur celle-ci ? C'est ce qu'il pensait jusqu'au moment où tu lui dis avoir trouvé ce qu'il cherchait. Il fut déjà assez surpris, n'ayant pas vu que tu t'étais mise à l'aider dans ses recherches, sans poser de questions et il fallait dire qu'il appréciait ton geste, non, en fait, il t'appréciant de plus en plus, malgré le fait de ne pas te connaître plus que ça.

Alors que tu arrivais vers lui tout en lui tendant le livre, il ne put s'empêcher de faire un magnifique sourire pour te remercier de ce que tu venais de faire. Il était prêt à prendre le livre quand tu le lâchas, presque déstabilisée. Était-ce lui qui te faisait cet effet ? Cela l'amusait particulièrement de te voir agir ainsi, tu n'avais pas l'air d'avoir l'habitude qu'un garçon soit aussi gentil avec toi ou bien qu'un garçon t'apprécie réellement. Oui, en fait, Alexander commençait à vraiment t'apprécier mais ça, il ne s'en rendait pas compte, pas pour l'instant. Il se baissa peu après, en même temps que toi pour ramasser le bouquin, mais sans le faire exprès vos mains se touchèrent et c'est là que quelque chose d'étrange arriva, il ressentit comme une petite décharge dans la main et tu devins quelque peu étrange, que t'arrivait-il ? Il ne comprit pas vraiment et encore moins au moment où tu vins dire le prénom de sa tendre et chère mère décédée il y a plusieurs années de ça. « Qu'est ce que... ? » Il fut presque effrayé parce que tu venais de dire, tu avais réussi à lire en lui ? Non, impossible, qui étais-tu ? Aucun mot ne sortit de sa bouche, il ne savait pas quoi dire... En même temps, il n'allait pas se mettre à parler en disant : "Anthéa ? Oh oui, c'est ma mère, elle est décédée il y a quatre vingt cinq ans, alors que je n'avais que dix-huit ans". Oui, tout à fait logique. Alexander se précipita ensuite pour prendre l'énorme le livre dans ses mains et se redresser. Finalement, c'est un air de colère qui venait d’apparaître sur son visage. Il n'avait aucune idée de ce qu'était un "Enchantix", ce qu'il pensait, c'était plutôt le fait que tu attendes le bon moment pour venir lire dans ses pensées.

- C'est bon, vous avez réussir à avoir ce que vous vouliez ? demanda-t-il, énervé.

Ah, qu'est ce qu'il pouvait faire peur quand il était énervé. Les traits de son visage devenaient durs et méchants. Ses yeux, noir et rouge, qui était la plupart du temps pas si effrayant que ça, là, l'était. Quand il s'agissait de son passé, Alexander était loin d'être sympathique, surtout quand quelqu'un essayait d'en savoir plus sur lui d'une façon ou d'une autre.

Après tes paroles, il lâcha le bouquin, pour venir s'approcher dangereusement de toi jusqu'à venir te plaquer d'un coup, mais doucement pour ne pas te faire mal, contre l'un des rayons de la bibliothèque qui était solidement fixé au sol. Les mains posées de chaque côtés de ta tête, il approcha son visage du tiens, ne restant que quelques centimètres entre vous deux, vos souffles s'entremêlant. Ses yeux étaient toujours aussi froid, oui, il était encore énervé par ce qu'il venait de se produire et c'est probablement ça qui le poussa à dire ces mots suivants :

- Anthéa von Rosenberg Carrow, c'est ma mère que vous avez vu, elle a été tuée et c'est ça que je viens chercher ici.

Il retira ses mains et fit un pas en arrière avant de s'éloigner de toi pour reprendre le gros livre toujours au sol, il était lourd, certes, mais Alexander le portait tout de même d'une seule main. Le brun se retourna ensuite vers toi, un visage un peu plus calme que tout à l'heure, après tout, comme tu avais pu le dire, tu ne contrôlais pas encore bien ton pouvoir et il n'était con à ce point pour ne pas te pardonner sur ce fait.

- Apprenez à le contrôler, et vite car il est hors de question que vous reveniez fourrer votre nez dans mes pensées, dit-il avant qu'un léger soupire s'échappe d'entre ses lèvres.

Alors que tu allais lui prendre la main, tu t'arrêtas soudainement avant que tu lui dises ces quelques paroles qui se résumaient à ne plus le toucher si il le souhaitait. Bonne idée, au moins tu n'irais pas jusqu'à lire dans ses pensées et découvrir son passé qui était loin d'être joyeux. Mais dans un sens, ce n'est pas ça qui le dérangeait le plus. Que les gens sachent que ses parents ont été assassinés, ce genre de petits souvenirs, il s'en fichait, mais ce qu'il ne voulait pas, c'est qu'on apprenne qu'il a réalité cent trois ans et que pendant quatre vingt cinq ans il était un simple fantôme errant sa planète complètement détruite. Mais ça, allais-tu le voir ? Probablement pas, car Alexander évitait formellement d'y penser, il ne voulait plus. En même temps, cela paraissait normal non ? Passer dix-huit ans de sa vie extrêmement bien entouré pour ensuite, d'un seul coup, être seul, voyant sa propre planète mourir petit à petit, impuissant, jusqu'à voir le dernier habitant y perdre la vie. Quatre vingt cinq ans, c'était extrêmement long non ? Surtout quand on passait toutes ses années à errer seul, sans personne, tuer par l'ennuie. Voilà à quoi il ne voulait plus penser, à présent il était de nouveau vivant, bien réel et les autres le voyaient, lui parlaient... Du moins, les quelques personnes qui n'avaient pas peur de lui.

Après un léger blanc qui venait de s'installer entre vous, Alexander décida de prendre ta main tout en plongeant ses yeux dans les tiens. Une sorte de déclic se produisit chez lui, quelque chose d'étrange... Ta main dans la sienne, tes yeux, ton visage. Le brun n'avait jamais été du genre à s'intéresser aux autres, bien au contraire, il se fichait d'eux, il aimait toujours se servir d'eux sans penser aux choses qu'ils pouvaient ressentir, mais à présent, c'était différent, il commençait à t'apprécier bien plus qu'il ne l'imaginait, il ne te connaissait que depuis quelques heures certes, mais en si peu de temps il avait eut le temps de voir que tu étais une personne gentille, généreuse et prête à aider les gens en cas de besoin, une personne qui avait l'air d'avoir du vécu, tout comme lui, il voulait en apprendre bien plus sur toi, il voulait te connaitre et pourquoi pas... Te révéler qui il était vraiment. Donner sa confiance aussi vite à quelqu'un, dangereux n'est-ce pas ? Mais bien sûr, il n'allait pas te le dire comme ça, non, il allait attendre que tu t'en rendes compte par toi même, que tu réalises qui il était vraiment, associer les éléments pour créer une déduction. Mais il préférait en apprendre plus sur toi avant cela. Alexander se mit ensuite à sourire tout doucement pour ensuite te lâcher la main après cette longue absence de paroles. Il se dirigea par la suite vers une petite table pour s'y asseoir dessus et ouvrir le bouquin tout en le regardant et en lisant attentivement.

- Au passage, je n'aime pas qu'on est de la pitié envers moi, avait-il dit en faisant référence à la tête que tu avais faites en avouant que sa mère était décédée.

Anthéa von Rosenberg Carrow. Voilà ce qu'il y avait de noté sur le livre, d'autant plus qu'elle devait être très ressemblante à la femme que tu avais vu dans ta vision à propos de son passé. A plusieurs reprises ont pouvait la voir dans le livre, et selon Alexander, tu avais du faire le rapprochement avec sa mère et finalement, il s'en fichait enfin non, disons plutôt qu'il te faisait déjà confiance et que tu saches qui il était réellement ne le dérangeait pas. En revanche, avais-tu compris que ses parents étaient mort il y a quatre vingt cinq ans ? Avais-tu compris pourquoi la planète avait été détruite ? Avais-tu lu leur date de mort qui apparaissait à plusieurs reprises dans le bouquin ? Probablement pas, sinon tu serais intervenue depuis un petit moment.

C'est quelques instants après, page après page qu'il tomba sur un homme, l'homme qui avait pris la place de ses parents sur le trône après leur décès. Et c'est en lisant la description qu'il fut étonné à tel point qu'il en déchira la page pour la chiffonner. Ce qu'il venait de lire ? Ça :

« Scorpius Wilkes. 1891 - ?.

Cet homme, plus connu sous le nom de Scorpius Wilkes prend une grande place dans l'histoire de Cendros, en effet, celui-ci a été l'un des pires hommes ayant gouverné. Bien pire que Lawson Carrow, Scorpius est celui qui a été le premier soupçonné de meurtre pour avoir assassiné tous les membres restant de la famille Carrow. Par la colère du peuple, de nombreuses guerres se déclarèrent à la suite de ces événements. A présent, certains disent que Scorpius est encore vivant dans l'univers magique, ayant quitté la planète avant que celle-ci soit complètement plongée dans le chaos et il se pourrait bien que cela soit vrai. »

- Il faut que je retrouve cet enflure, dit-il d'une voix grave avant de balancer le livre et de se lever d'un seul coup. Je vais le tuer moi-même si il le faut !

Alexander mit ensuite ses mains sur son visage, perplexe, tout en commençant à faire les cent pas. Comment allait-il retrouver cet homme ? Il fallait qu'il réfléchisse... Un indice, n'importe quoi, c'est ce qu'il voulait. Il n'arrivait pas à se calmer pour l'instant, pourtant il le fallait bien... Un long soupir s'échappa d'entre ses lèvres ainsi qu'un léger "Merde", énervé. Pour la seconde fois, il avait oublié ta présence et ce que tu pouvais bien penser de lui. Sa politesse d'autrefois avait encore disparue.

Tes paroles... Tes paroles qui se bousculèrent dans sa tête : « 103 ans c'est bien trop de solitude pour un seul homme, laisse moi t'aider à venger ton passé... » Alors comme ça tu avais enfin compris, enfin compris qui il était vraiment. Et tu ne le jugeais pas ? Non, tu n'appelais pas un hôpital psychiatrique ? Rien de tout ça ? Il y avait encore des personnes compréhensible dans ce monde ? Tu avais compris bien plus vite qu'il ne l'espérait et c'est ta jugeote qui fit que tu lui plaisais d'autant plus. Et ton baiser, oui, le baiser que tu venais de lui donner sur la joue, c'est sans s'en rendre compte qu'il s'était complètement calmé, il posa une main sur sa joue avant de te regarder dans les yeux, il pouvait se perdre dans ces derniers tellement ils étaient magnifiques.

- Bravo Camélia, tu... Puis-je te tutoyer ? Maintenant que tu connais un peu plus de choses sur moi, ça paraîtrait normal. Et je pense que quelques explications pour te t'aider à y voir plus clair sur qui je suis, serais les bienvenues ?

Il avait dit tout ça avec un calme incroyablement, comme-ci l'épisode de tout à l'heure avait soudainement disparu, que son envie de vengeance n'était plus présente, malgré qu'elle le soit encore bel et bien. Son visage pourtant, était neutre bien qu'il avait envie de te sourire, il ne le fit pas. Bien qu'il eut également envie de t'embrasser, il ne le fit pas... Oui, il se rendait vraiment compte à qu'elle point tu pouvais lui plaire et l'effet que tu lui procurais en si peu de temps. Il n'arrivait pourtant pas à s'y faire, mais ne pouvait pas le nier.

Qu'est ce que... ? Tes bras autour de son cou, tes lèvres posées sur les siennes. Qu'est ce qu'il te prenait tout à coup ? C'était certes, très précipité, mais cela ne le dérangeait pas pour autant, il fallait l'avouer. Une si belle jeune femme, lui sautant complètement dessus pour lui arracher un baiser. Cela faisait bien trop longtemps que quelque chose comme ça ne lui était pas encore arrivé, pourquoi ne pas en profiter après tout.

Alexander vint poser ses mains sur tes hanches pour approfondir le baiser avec fougue, comme-ci il en mourrait d'envie depuis qu'il te connaissait, c'est à dire quelques heures maintenant. Malheureusement, le baiser lui procura une sensation étrange, trop étrange qu'il te fit reculer, toujours les lèvres posées sur les tiennes avant de te bloquer contre l'un des rayons de la bibliothèque. Il continua son baiser, un baiser qui devint vite intense. Les mains caressant doucement chacune de tes hanches, il ne pouvait pas s'arrêter. Un homme en manque de sexe, ça ne faisait pas de toute car son membre devint dur sans qu'il ne puisse se contrôler. « Calme-toi Alex.. » pensa-t-il avant de te lâcher d'un coup, arrêtant le baiser et ses gestes. Il ne te touchait plus du tout. Comment tu pouvais lui procurer ce genre d'effet ? Jamais il ne s'emportait aussi vite d'habitude. Il essaya de contrôler son érection, presque gêné. Il retourna prendre son livre pour s'asseoir sur une chaise, les yeux rivés sur ce dernier.

- Je m'excuse... Je... Je me suis emporté, avoua-t-il d'une voix grave.

Alexander fut d'autant plus surpris par ta réaction, revenir vers lui et te positionné ainsi tout en l'embrassant... Et tes paroles. Tu ressentais la même chose que lui, cette attirance plutôt étrange, comme si tu étais un aimant et lui un simple bout de ferraille. Alexander reposa instantanément ses lèvres sur les tiennes, un baiser fougueux. Il était incapable de se retenir, et après tout il n'y avait personne dans la bibliothèque, du moins, il espérait que personne n'y entre pour voir cette scène. Il vint mettre ses mains sur tes hanches, comme tout à l'heure, pour les caresser le plus sensuellement possible, il ne pouvait pas le nier : Il avait envie de toi, une envie incompréhensible. Il se leva ensuite, les mains sous tes cuisses pour te porter afin de t'allonger sur la table et se mettre au dessus de toi. Il caressa nombreuses parties de ton corps, te couvrant de baiser jusqu'à arriver au creux de ton cou, là où il commençait à mordiller ta chaire, doucement, sans te faire mal. Après ça, il remonta l'une de ses mains vers ta poitrine pour commencer à la caresser. Il était toujours autant étroit dans son jean, son membre était complètement durci par l'excitation que tu lui procurais... Quelque chose d'incroyable qu'il n'avait jamais ressentit auparavant. Une attirance que lui même était incapable d'expliquer et il voulait te montrer ce qu'il ressentait en faisant cela... Il attendait de voir si tu voulais réellement de lui, voir si tu allais le repousser ou si tu avais changé d'avis, si tu étais prête pour ce genre de chose... Dans un lieu comme celui-ci.

Ça avait été tellement précipité. Trois heures, ce n'est pas long me direz-vous, pourtant cela faisait bien trois heures qu'il te connaissait, et encore 'connaitre' était un bien grand mot. Cependant, comment expliquer cette attirance qu'il ressentait ? Et si il avait tout simplement peur de ne pas réussir sa troisième mission et qu'il essayait de se convaincre de t'aimer ? Non, c'était impossible car éprouver ce genre de choses étaient indescriptibles. Ce n'était pas de l'amour, ou peut-être que si mais pour l'instant, ce qu'il savait, c'est qu'au moment où tu vins poser tes lèvres pour la première fois sur les siennes, il avait eu envie de toi, comme ci il avait toujours eut cette envie et que tu venais de la déclencher. Est-ce que la même chose serait arrivée avec une autre fille ? Il en doutait fortement. Pour l'instant, il voulait juste profiter de cet instant, il voulait te faire ressentir des choses que tu ne risquais pas d'oublier de sitôt. Il savait de quoi il était capable, des relations sexuelles, il en avait déjà eu à son époque, et sans se venter, les filles avaient souvent du mal à l'oublier après ça. Mais ce n'était pas réellement pareil aujourd'hui, il n'allait pas faire ça pour vraiment s'amuser, du moins, il n'en savait rien... Et putain, qu'est ce que ça pouvait le perturber.

Ton regard, ce regard qui venait de lui dire de continuer... A présent, rien ni personne ne pouvait l'arrêter dans ses gestes, il allait finir ce qu'il avait à faire, quoi qu'il arrive. Son tee-shirt était à présent retiré, laissant apparaître ses muscles parfaitement dessinés, oui, il était beau et sans aucun doute très sexy et irrésistible. Ses mains parcouraient tout ton corps, il ne voulait manquer aucune partie de ce dernier, il voulait tout explorer, il te voulait, c'est tout. Il vint ensuite embrasser tes lèvres avec fougue et sensualité, passant sa langue entre tes lèvres pour venir jouer avec la tienne, vos langues s’entremêlant ensemble à présent. Après quelques instants, il voulu entendre ta voix, il voulait t'entendre prendre du plaisir. Alexander remonta doucement ta jupe pour commencer à caresser l'une de tes cuisses, toujours en t'embrassant à pleine bouche. Il frôla ensuite ton intimité avant de passer sa main sous ta culotte et commencer à jouer avec l'organe qui procurait autant de plaisirs à une femme. Le brun se mit à mordiller doucement ta lèvre inférieure par la même occasion, te regardant dans les yeux en attendant une réaction quelconque. Les préliminaires avaient bel et bien commencé.